Pour être une alternative crédible, Breizh ne peut pas être une continuation de l'existant. Dans le cas de l'économie agricole bretonne, il est très clair que les acteurs de celle-ci ont été les collaborateurs numéro un dans notre pays du gouvernement d'occupation.
Collaboration dans la dépendance issu de l'exclusive agricole. Collaboration dans la destruction de la biodiversité bretonne, de l'eau pour le plus grand profit de groupes sans éthique. Les acteurs de l'agriculture bretonne sont en termes économiques ceux dont voulons nous débarrasser en priorité.
Une Breizh libre sera une Breizh rénovée et traditionnelle qui régénère son écosystème. Cela sous entend de ne pas verser une larme sur le sort des agriculteurs bretons qui sont la honte de notre pays pour les trahisons multiples qu'ils ont causé par opportunisme dont Gourvennec est la sinistre illustration.
L'avenir de l'agriculture industrielle bretonne est menacée. C'est une satisfaction et un choc salutaire. Tournons cette page noire de notre histoire et de la soumission de nos ploucs honteux et abrutis. L'heure est à l'autonomie généralisée: un retour à de petites unités de production éthiques est une réponse pour un réenracinement breton. Une proposition proche de ce que Proudhon proposait et qui correspond à la mentalité bretonne ou solidarité et échelle humaines priment.
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